Mais où est le NaNoWriMo 2017 ?
Où trouver mes textes du NaNoWriMo 2017 ? La réponse à cette angoissante question se trouve ici…
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H. P. Lovecraft était raciste au dernier degré. C’est un fait que, naïvement, je pensais connu par la plupart de ceux qui l’ont lu. Mais comme son œuvre – et donc son nom – devient de plus en plus populaire, beaucoup connaissent l’ombre de l’œuvre, ce qu’elle a engendré comme créations modernes, mais pas le personnage.
L’avis du renard Vous aimez lire des nouvelles décalées, étonnantes, inclassables mais toujours prenantes ? Vous ne savez pas où trouver des textes de ce style de qualité ? Les éditions Walrus (Goo goo g' joob!) ont la solution pour vous via le Labo des éditions Walrus ! Parce que le classement de cet article peut prêter à confusion – mais je n’avais pas d’idée plus pertinente –, je ne vais pas vous parler ici d'un texte mais d’une multitude de texte : les nouvelles publiées dans le Labo susmentionné.
La petite polémique du moment, c’est que les temps de trajets de la septième saison télévisée du Trône de Fer seraient complètement farfelus. C’est vrai, mais ce n’est ni surprenant, ni forcément un problème. Voyons pourquoi.
Où j’explique en deux mots pourquoi il n’y a plus de billets ici depuis longtemps ; après quoi on s’attaque à « La Reine Rouge » de Lois McMaster Bujold et aux notions de « contrat de lecture » et de « attente du lecteur ».
Les quatre adolescents, assis au pied d’une tour d’habitation d’une hideur sans nom, regardaient passer le train. Une locomotive massive qui ajoutait son énorme panache de fumée noire à la pollution ambiante, et une vingtaine de wagons en métal nu, totalement fermés, sans la moindre marque d’identification. Ils passaient régulièrement, nuit et jour, depuis que la ligne était apparue une semaine plus tôt. Les transformations impromptues de la ville étaient légion dans cette banlieue, une conséquence des Grandes Batailles de Magie quelques siècles auparavant, mais se limitaient normalement à une porte, quelques fenêtres ou une petite ruelle.
Le magicien invita la Kitsune à descendre. Elle semblait moins nerveuse, plus à l’aise, mais maintenait toujours une distance méfiante avec son hôte. La renarde observa les alentours, humant l’air chaud et humide. Un sourire en coin se dessina sur son visage, sans parvenir à l’illuminer. — Je vois que vous connaissez, vous aussi, les nœuds de puissance magiques de cette forêt, dit-elle. Ce que je m’explique moins, c’est l’intérêt de vos ajouts à cette clairière.
Interloquée, Lina regarda tour à tour Nicolas et Rouge. — À ce point ?, demanda-t-elle. — Oui. Comme elle arrivait en bas des escaliers, seule avec un luxe de précautions, elle passait devant les explorateurs. — J’espère qu’elle se doute qu’un piège l’attend dans la forêt, dit Barnabé. Cette remarque aurait dû rester une parole en l’air, puisque le Quartier Général avait affirmé que pour cette mission les interactions étaient impossibles.
Et maintenant ? C’est la question que je me suis posé après avoir passé ces trente jours, ou presque, sur le NaNoWriMo 2016. Du coup j’ai réfléchi, travaillé un peu sur un projet secret dont vous saurez peut-être quelque chose un jour, et voici venir le moment de faire le bilan de cette expérience, perspectives incluses.
Ils furent réveillés peu après l’aube par le détecteur de conte, dont la prescience avait détecté quelque chose. Dehors, tout était normal ; un rapide coup d’œil à l’ordinateur leur appris que le phénomène avait cessé brusquement vers quatre heures vingt du matin. Non seulement le phénomène n’était pas habituel ici, mais il avait été très transitoire – peut-être était-ce quelque chose de différent de leur première mission ? Le féérimètre conduisit les explorateurs en pleine forêt, au petit matin, dans la zone la plus inaccessible du chemin qui reliait l’ermitage à la ville.
Aujourd’hui, rien.
Nicolas émit un claquement de langue. — Lui, il va au-devant de beaux ennuis, dit-il. — J’ai l’impression du contraire, dit Nab. — Il se lie avec une Kitsune, un esprit malin, donc, ce qui n’est jamais une bonne idée. C’est la nature de ces être de séduire et détruire. — Comme c’est dans ta nature de ruser et de tromper, répliqua le jeune homme. Tu me déçois, renard, je te pensais mois sujets aux clichés que chacun de par ta nature, et tu plonges dedans comme n’importe quel humain.