Ça commence mal pour Raizo : en plus d’une retraite pas bien épaisse, son petit-fils attrape une maladie presque incurable et non couverte par les assurances ou la sécurité sociale. Pour pouvoir vivre et rembourser le traitement de son petit-fils (900 000 ¥/mois), il doit trouver un travail qui paie vite et bien. Il déniche une annonce pour un petit boulot à 1 000 000 ¥/mois, qui rentre dans ses qualifications (bon niveau en arts martiaux et connaissance des armes à feu).
Comment ça : « Prix Hellfest – Inferno 2018 » ? Le Hellfest, c’est un festival de musique. Comment un festival de musique peut donner un prix à un roman, et sur quels critères ?
Est-ce que vous avez déjà lu la meilleure bande dessinée du monde dont l’un des héros est un renard ? Sinon, précipitez-vous sur « De Cape et de Crocs » dont ce n’est pas la seule qualité – loin de là !
L’avis du renard Jésus et Bouddha existent, ils prennent des vacances sur Terre, sous la forme d’une colocation discrète dans un petit appartement tokyoïte. On est donc à nouveau face à un manga au synopsis improbable.
Le manga nous donne exactement ce qu’il promet : les péripéties de Jésus et Bouddha en villégiature à Tokyo, où ils découvrent les bizarreries de la vie des humains du XXIème siècle, et les divers inconvénients que peuvent provoquer leurs pouvoirs et leurs relations divines.
Une chronique un peu particulière, où je vous décrit le pire roman que j’ai jamais lu (dans ce qui est édité à compte d’éditeur), les expériences positives que j’ai tirées de cette lecture, et pourquoi je ne lirai jamais la suite.
Bienvenu dans le monde étrange et pas-si-merveilleux de la littérature de masse, où le lecteur se distrait simplement, et où des auteurs vivent grâce à la quantité plus que la qualité.
Peut-on planquer la meilleure bande dessinée de science-fiction de ces derrières années derrière un objet étrange ? Boulet et Aseyn nous prouvent que oui, avec brio !
Bolchoi Arena, un must pour quiconque aime la SF bien pensée et joliment dessinée.
Un autre superbe manga, quoique dans un style très différent de « Bonne Nuit Punpun » : ici l’on s’émerveille et l’on frissonne avec l’héroïne de ce qu’elle découvre du monde magique. Et surtout l’on admire des dessins à couper le souffle et des idées percutantes qui font mouche.
Que se passe-t-il quand un dessinateur, au dessin caractéristique et qui a presque toujours travaillé avec un scénariste, décide de créer seul une série sur celui qui est sans doute le meilleur méchant de la BD franco-belge ?
Eh bien, José Luis Munuera est précisément dans cette position, et semble avoir réussi son coup.
Peut-on écrire une histoire correcte à partir d’un synopsis en apparence absurde ? Mieux : peut-on écrire onze tomes de manga à partir de ce synopsis ? C’est ce qu’a tenté l’auteur de « Sankarea : Adorable Zombie ».
J’ai fini le recueil ; et au final, bien que les nouvelles soient très différentes, elles me laissent toutes le même arrière-gout bancal. Non pas que les histoires soient mauvaises en soi, mais si le fond était souvent intéressant, le style et le traitement m’ont plus dérangé, souvent au point de me sortir complètement du texte.
En résumé, je comprends tout à fait que ces nouvelles plaisent aux amateurs de style riche et varié. Mais ce n’est pas du tout mon style de lecture, surtout par le fait que ce recueil cumule plusieurs éléments que je n’aime pas retrouver dans mes lectures.
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